Un conflit entre syndicats et la direction risque de paralyser le développement du troisième opérateur mobile belge.

Le journal Le Soir, dans son édition d’aujourd’hui, annonce qu’un préavis de grève a été déposée par la CNE. Celui-ci arrive à échéance le 18 juin. Le plan social qui prévoyait le licenciement de 202 postes a pourtant été retiré (et ce, malgré l’approbation de 84% du personnel) mais les syndicats craignent qu’en lieu et place d’un départ massif, BASE ne procède qu’à de légers dégraissements afin de contourner la loi Renault. Il semble également que l’information ne soit pas tout à fait complète envers les employés. Le futur organigramme de l’entreprise n’est pas clair. Le plan de licenciement comportait également des avantages pour les personnes âgées. Or, chez BASE, la moyenne d’âge est sérieusement plus basse que cela.