Vendu à 389 euros TTC, le K810 de SonyEricsson débarque à un prix nettement moins élevé que son prédécesseur à ses débuts (480 euros à sa sortie en juin 2006, 290 euros environ aujourd’hui).  Même le coffret présentant le SonyEricsson K810 ressemble à celui du K800 : seule la couleur diffère.  Ce dernier comprend le strict minimum : dragone, câble USB, livrets, câble d’alimentation, carte de 128 Mo. Plus compact que son prédécesseur (106 mm sur 48 pour une épaisseur de 17 mm sur le K810 contre 22 mm sur le K800), le K810 offre une qualité de clichés équivalente. Le système d’exploitation et les logiciels ressemblent à s’y méprendre à ceux du K800i, le TrackID et BestFix (photo) en plus. Le clavier, lui aussi, a quelque peu changé. Les touches sont rondes, le toucher agréable. Lors de l’activation du mode photo, les touches 1, 4, 7 et * s’illuminent, laissant apparaître une icône correspondant à une fonction : mode de prise de vue (unique, BestPic, rafale), mise au point (macro/normal/infini), retardateur et mode Flash (automatique, désactivé, yeux rouges). Doté d’un capteur Cybershot 3,2 Mpx, le K810 reprend si pas la forme au-moins les qualités techniques et logicielles de son prédécesseur.   Un premier test du téléphone est publié sur le site Play-Mobile, où l’on trouve notamment un comparatif photo avec le Nokia N73, tournant pour l’heure – de peu – à l’avantage du rejeton de Nokia. L’article permet également de se faire une idée sur « Photo Fix », le correcteur automatique (blancs, luminosité, contraste) de photos.