La tablette canadienne est un échec commercial retentissant. Pourtant puissante et esthétiquement réussie, il lui manquait des fonctionnalités cruciales désormais disponibles.

Les utilisateurs actuels du PlayBook vont recevoir dans les heures qui viennent une notification afin de mettre à jour immédiatement l’appareil. L’évolution est telle que RIM programme une vaste campagne de communication à propos des nouveautés bienvenues, voire indispensables pour séduire enfin les consommateurs.

Au menu, le caractère communicant évolue avec un client social intégré (e-mail, contacts, calendrier, réseaux sociaux). Jusqu’à présent, il était impératif de disposer d’un smartphone de la marque qui faisait office de pont vers ces services. Malgré la nouvelle indépendance du PlayBook, le lien avec le BlackBerry est renforcé puisque le téléphone peut désormais contrôler l’interface de la tablette. Autre exemple, les documents lourds reçus sur le petit écran peuvent être rapidement envoyés vers le grand.

L’autre fonctionnalité cruciale est la possibilité d’ouvrir des applications Android sur le PlayBook. Même si RIM se garde d’en faire trop de publicité, il s’agit probablement d’une caractéristique très attendue par les utilisateurs qui peinent à trouver des logiciels en nombre et en qualité.

Plus d’infos sur la procédure de mise à jour ainsi que quelques conseils sur la nouvelle page d’accueil sont disponibles sur le blog d’aide de BlackBerry.