Un sérieux dépoussiérage a été opéré sur l’interface du logiciel qui venait de fêter ses deux ans. Quelques nouveautés bienvenues font également leur apparition.

La version 1.5 de l’application de la STIB sous Android est disponible depuis quelques jours sur Google Play. Les utilisateurs pourront désormais scanner les codes QR aux différents arrêts afin d’ouvrir automatiquement l’appli avec les paramètres adéquats. Pendant les heures d’ouverture du centre d’appels, un bouton téléphonique permet d’entrer automatiquement en contact vocal avec un agent de l’entreprise publique bruxelloise. Les arrêts à proximité sont désormais affichés dans la vue d’un arrêt déterminé. Les informations peuvent être partagées et certaines fonctionnalités ont été aménagées comme l’intégration de Street View et la sélection d’un arrêt favori.

Par cette mise à jour, la STIB confirme son engagement sur les kiosques mobiles et peaufine l’expérience de l’utilisation. Un signal enthousiasmant pour les navetteurs. Mais également un signal alarmant pour les Wallons qui, eux, sont toujours privés d’une quelconque information mobile de la part des TEC. D’autant plus que son équivalent bruxellois réserve de petits cadeaux cachés aux utilisateurs d’Android comme la possibilité d’ajouter un onglet « Now » qui s’inspire de Google Now en tapant « now:on » dans le champ de recherche. Par ailleurs, les lignes, arrêts et horaires des transports publics de la capitale sont toujours disponibles sous Google Maps (et un peu sous Nokia Maps).