Suite à la parution d’un article sur les opérateurs européens paru dans nos colonnes, Transatel a souhaité apporter quelques précisions sur son offre et sur la proposition de la Commissaire européenne Viviane Reding.

l était effectivement peu cordial de citer les tarifs d’Amatus sans évoquer ceux de Transatel dont voici un extrait :

En Belgique :

  • 22 cents/ minute pour le forfait « Low » (5 euros/mois)
  • 18 cents/ minute pour le forfait « Med » (10 euros/mois)
  • 14 cents/ minute pour le forfait « High » (18 euros/mois)

Depuis la France, le Luxembourg, les Pays-Bas et bientôt la Suisse

  • Réception d’appels :
    • Dans les pays pour lesquels les abonnés ont souscrit une ligne locale : Gratuit
    • Sur les autres lignes de l’abonné : 30 minutes gratuites, puis 18 cents/ minutes
  • Emission d’appels :
    • Appel national depuis la ligne nationale de l’abonné : tarif national
    • Appel international (avec option International Optimum à 2 euros/ mois) : 22 cents/ minute vers ligne fixe et 32 cents vers mobile

Techniquement, il est également essentiel de démarquer Transatel par rapport à la solution quelque peu inhabituelle d’Amatus. Transatel fonctionne sur la plupart des téléphones modernes, n’exige pas l’utilisation d’un appareil externe et utilise une nouvelle technologie de cartes SIM pouvant supporter 4 numéros de téléphone.

Transatel juge, par ailleurs, que la proposition de la commissaire européenne Viviane Reding en vue de faire plonger les frais d’itinérance est une bonne chose pour stimuler la concurrence à ce niveau. L’opérateur, qui déposera ses bagages en Suisse dans quelques semaines, espère également que la nouvelle disposition obligera les opérateurs classiques à ne plus bloquer l’accès à leurs marchés. Transatel pense ainsi au Royaume-Uni, à l’Allemagne et à l’Italie.

L’actualité récente ne pourrait donc faire que du bien à Transatel. Son dynamisme permettra, de toutes façons, de répondre aux éventuelles modifications légales en restant compétitif au niveau du prix mais également du service. L’opérateur pense également qu’un accroissement de la concurrence rendrait les innovations plus nombreuses.