Des affiches vont progressivement fleurir à proximité des points d’intérêt les plus visités de la capitale avec un code à scanner. Il contiendra un lien vers une version mobile du site web de la ville.

Si la Wallonie se prépare à accueillir des bornes iBeaken sur quelques centaines de sites touristiques, Bruxelles va suivre la démarche avec une technologie similaire basée sur les codes QR. Ces derniers envoient du contenu mobile, textuel et imaginé, en français, anglais et néerlandais. Dommage que, pour une ville si cosmopolite, d’autres langues ne soient pas envisagées comme l’allemand, l’espagnol, l’italien, voire l’arabe, le chinois ou le japonais (vu la quantité de photographes sur la grand place par exemple).

Avantages évidents: les informations sont disponibles en permanence et il est possible de montrer l’intérieur d’un bâtiment lorsque ce dernier est fermé. Les sociétés de transport public pourraient s’en inspiré dans les points d’arrêt pour informer le public des horaires, des soucis de ligne et des retards éventuels.